Notre sélection des plus grands chevaux de course de l’histoire

ourasi

Notre boutique jouit d’une réputation flatteuse en Belgique tant nous œuvrons au quotidien pour vous proposer l’équipement idéal pour votre cheval et au meilleur prix. Pourtant, cette entreprise familiale se transmet de père en fils et ne représente donc qu’une infime partie de notre passion pour les chevaux.

Pour preuve, nous sommes régulièrement présents au sein des hippodromes afin d’assister aux plus belles courses de la saison. Si certains cavaliers ont écrit les plus belles pages de ce sport, le rôle des chevaux est au minimum aussi important ! Nous profitons d’ailleurs de l’occasion pour vous donner notre avis sur les plus grands chevaux de course de l’histoire.

Ourasi

Difficile de ne pas évoquer Ourasi d’emblée. Il s’agit du cheval le plus connu et le plus aimé en France. Star des hippodromes dans les années 80 et spécialiste du trot, Ourasi remporta le Grand Prix d’Amérique à quatre reprises (1986, 1987, 1988 et 1990). A sa mort en 2013 à l’âge de 32 ans, une statue fut érigée en son honneur à l’hippodrome Paris-Vincennes.

Tenor de Baune

Chouchouté et transformé en véritable machine à trotter par Jean-Baptiste Bossuet, Tenor de Baune s’affirma comme le leader de sa génération. Le public le considérait même comme le principal concurrent d’Ourasi. Tenor de Baune fut néanmoins vaincu en 1990 par la légende mais réalisa l’exploit de remporter le Grand Prix d’Amérique l’année suivante en restant invaincu.

Ready Cash

Ready Cash est le genre de cheval que l’on ne voit qu’une fois tous les vingt ans. Il remporta trois courses classées Groupe I dès l’âge de trois ans et s’affirma par la suite comme le meilleur cheval de sa génération. Il remporta notamment le Grand Prix d’Amérique à deux reprises (2011 et 2012).

Jag de Bellouet

Surnommé le Cannibale, ce trotteur surdoué se révéla au grand jour en 2004 avec plusieurs victoires sur des courses classées Groupe I. Jag de Bellouet affichait une facilité déconcertante dans les deux disciplines du trot, le monté et l’attelé. En 2005, il réalisa le doublé Grand Prix de Cornulier / Grand Prix d’Amérique avant de se retirer des hippodromes pour mener une vie paisible en tant qu’étalon.

Uranie

Il s’agit de la première star de l’histoire du trot. Adulée par le public, cette jument régna sans partage sur cette discipline, avec notamment trois Grands Prix d’Amérique (1926, 1927 et 1928). Ses victoires éclatantes incitèrent même les organisateurs à l’handicaper de 50 mètres au départ afin de ne pas décourager les parieurs !

Gelinotte

Gelinotte fut certainement la première monture aussi talentueuse d’après-guerre. Cette jument fut rapidement confiée à l’entraîneur mythique Charley Mills, ce qui lui permit de remporter le Grand Prix d’Amérique à deux reprises (1956 et 1957). Sa descendance s’avère du même acabit avec notamment Lurabo (vainqueur du Grand Prix d’Amérique en 1984) et le légendaire Ourasi.

Bellino II

Bellino II était facilement identifiable grâce au bonnet rouge qu’il arborait régulièrement. Aussi à l’aise au trot monté qu’au trot attelé, ce cheval prit une nouvelle dimension avec l’entraîneur Jean-René Gougeon. Il remporta notamment trois Grands Prix d’Amérique d’affilée de 1974 à 1976 malgré un âge avancé par rapport à ses concurrents.

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